Catherine Maussion, journaliste à Libération, voit des pirates partout... |
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Si ça continue, on va devoir ouvrir une rubrique "les journalistes qui ont
eu leur carte de presse dans une pochette surprise"... On avait déjà eu le rigolo de service de l'AFP qui reprenait son petit camarade du Monde sans le citer en faisant
croire qu'il nous avait interrogés, voici que Catherine Maussion de Libération nous
traite de pirates! Mais où vont-ils chercher tout cela? Le niveau baisse dit l'autre... Ben il a bien raison, l'autre... A l'époque lointaine où les vieux de la vieille formaient les jeunes journalistes, issus de nulle part ou tout frais sortis de leurs écoles, lesdits vieux énonçaient quelques règles de base. Comme de vérifier au moins deux fois ce que l'on dit ou écrit. Ils précisaient que les mots avaient généralement un sens et un seul. Qu'il y avait quelques questions de base à se poser comme qui a fait quoi où comment et pourquoi. Que le sens critique n'était pas une mauvaise chose. Et que deux avis valent mieux qu'un, que pierre qui mousse n'amasse pas roule!... Le 23 mai dernier, l'inénarrable Catherine Maussion écrivait dans son étonnant journal un article sur le retard à l'allumage de Ze Bank. Et voilà qu'elle évoque la petite histoire de Kitetoa à propos du serveur de cette future banque à distance en ligne. Et que dit-elle dans son papier? Que le site était mal installé? Que les pages étaient développées sur le serveur de production au lieu de l'être sur le serveur de développement? Que, que que? Que rien de tout cela... Elle dit ceci: Il y a quelques semaines, un épisode à demi-comique de piratage du site avait fait quelque bruit. Kitetoa, une bande de drôles de cambrioleurs qui prend en flagrant délit les sites passoires, était entré par effraction dans le site, visitant des pages qui n'étaient pas censées être rendues publiques. Olivier de Montety reconnaît: "Oui, j'ai été très vexé!", mais il minimise cet incident. "C'est comme une photo de paparazzi prise par l'entrebâillement d'une fenêtre qu'on aurait laissé ouverte." Cela n'a rien à voir, jure-t-il avec le retard. Nuit et jour, les équipes s'attellent à "débugger", "à auditer tous les éléments de liaison des chaînes informatiques". Bien entendu, nous pourrions nous interroger sur ce qu'est un "épisode à demi-comique", mais on va encore nous traiter de pinailleurs... Venons-en donc au fait. Dans ce texte, Catherine Maussion parle de "piratage du site" ZeBank par Kitetoa qui est "entré par effraction". Elle semble ignorer que dans ce pays, le piratage informatique, caractérisé, justement, par "les entrées par effraction", est puni par la loi. Si cette journaliste l'a oublié, pas nous. Et comme nous ne voulons pas nous retrouver devant un juge, nous n'avons jamais piraté un serveur de notre vie. D'ailleurs, nous n'en avons pas les capacités techniques... Ce que dit cette journaliste est donc très proche de la diffamation... Nous avons souhaité entrer en contact avec elle pour lui dire qu'elle y allait un peu fort de café de pirate. Visiblement, elle s'en contrefout. La réponse qu'elle a faite à notre mail ne contient pas du tout de phrase du genre "désolée, je n'ai pas fait très attention aux termes utilisés, je ne voulais pas vous faire passer pour des djeunz qui se livrent à des activités illégales, mon clavier a fourché....". Non. Son mail est plutôt du genre "vous êtes susceptibles et vous vous livrez à une analyse sémantique" alors qu'il n'y a pas lieu... Circulez! Bon... Ben si elle le prend sur ce ton... Nous envoyons par lettre recommandée un droit de réponse à Libération. Et nous publions ce petit papier sur Kitetoa.com. Les meta-tags de cette page devraient attirer du monde. Espérons du moins... Histoire de créer une opération gratuite (comme toujours sur Kitetoa.com) de promotion mondiale de Catherine Maussion et de Libération. Ah, les merveilles de la technologie moderne... De vraies merveilles de pirates! Kitetoa se la joue indélébile... Il faut dire, pour que vous, lecteurs, ayez toutes les cartes du puzzle en mains que votre webmaster préféré avait reçu il y a quelques mois, à sa demande et pendant près d'une heure et demi un journaliste de Libération pour lui expliquer -dans le détail- les méthodes de hack de sandwichs au jambon. Cela n'a visiblement servi à rien... :(
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