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Jean-Paul Ney, le nouveau casse-bonbons planétaire du Net

If you were not using lynx, you could see here a very nice gif from Seth Tobocman. There is a man **killing** 
another one and it says: **you don't have to fuck people over to survive**.


Update du 1er Juillet 2003: Jean-Paul Ney étant un casse-bonbon planétaire du Net, vous comprendrez qu'il ait cassé les bonbons de beaucoup de monde. Kitetoa.com n'est donc pas le seul site à raconter les jeanpaulniaiseies dudit casse-bonbons. Nous vous recommandons particulièrement la lecture de cette page.


Update du 26 septembre 2002: pour la suite des jeanpaulniaiseries, c'est ici...


C'est vieux comme le Web. Ou plutôt, comme Usenet. Et même, pour les vieux de la vieille, c'est vieux comme les BBS, ces ancêtres du Web. Vous gérez tranquillement un forum de discussion. Et tout d'un coup, apparaît un casse-bonbons qui en veut à tout le monde et met un souk indescriptible dans votre petit espace d'échange où pourtant, jusqu'ici, tout le monde se respectait et échangeait dans le calme. Pour Kitetoa.com, comme pour d'autres, nous le verrons plus loin, notre casse-bonbons s'appelle Jean-Paul Ney. Normalement, le casse-bonbons reste sur un plan virtuel, et se contente de poster des messages visant à pourrir le forum. Mais dans ce cas précis, Jean-Paul Ney a aussi choisi de harceler et de menacer de mort à plusieurs reprises le webmaster de Kitetoa.com par téléphone. Allant même jusqu'à l'appeler à trois heures du matin. Soumis par nos soins à une psychologue, le cas « Jean-Paul Ney » a été classé comme « schizophrène paranoïaque ». Ce n'est qu'une impression basée sur le contenu du forum après les différents floods réalisés par Jean-Paul Ney, l'écoute des messages qu'il a laissés sur le répondeur du Webmaster de Kitetoa.com et ce que l'on peut lire sur lui sur le Web. Ce n'est pas un avis définitif et étayé. Mais Jean-Paul refusera sans doute de rencontrer un psychologue, encore moins un psychiatre pour un avis médical plus étoffé. Pourtant, cela lui ferait sans doute du bien. Mais revenons à sa manie de casse-bonbons et à ce qu'il a fait sur notre site.

Le 18 février 2002, Jean-Paul Ney découvre le nom du webmaster de Kitetoa.com. Jusqu'ici, il n'avait rien contre notre site. Il écrivait même au webmaster pour lui donner son avis sur les papiers publiés (il écrit beaucoup de mails dont voici une sélection).

En fait, quelques jours plus tôt, le webmaster de Kitetoa.com était condamné dans une affaire judiciaire. Tati avait porté plainte pour piratage informatique à la suite d'un article paru sur Kitetoa.com. Cette histoire qui est développée dans un dossier ad hoc avait ému la plupart des journalistes qui y voyaient une décision assez délirante. De nombreux articles relataient notre mésaventure et prenaient notre défense. Jean-Paul Ney n'est pas passé à côté des papier parus dans Zdnet.fr et dans Lejournaldunet. Il y voit le nom du webmaster et reconnaît en lui un journaliste de Transfert.net.

Il lui revient alors en mémoire qu'il a déjà joué à casse-bonbons sur le site de Transfert. En effet, le webmaster de Kitetoa.com avait publié un papier qui lui avait fortement déplu. Depuis cette date, il intervenait dans les forums liés aux articles du webmaster de Kitetoa.com en demandant sa démission et en l'insultant. Un classique chez Jean-Paul Ney. Pourquoi tant de haine?

C'est une longue histoire. Dans le papier qui avait déplu à Jean-Paul Ney, Le webmaster de Kitetoa.com estimait qu'Analyzer, un pirate connu à la fin des années 90 pour avoir piraté quelques serveurs militaires américains, avait de meilleurs talents en communication que techniques. Inutile de revenir là-dessus, ce n'est pas l'objet du débat actuel. Bref. Jean-Paul Ney a, dit-il, rencontré et interviewé Analyzer bien après son arrestation par le FBI et la police Israélienne (lui prétend qu'il l'a retrouvé avant le FBI, ce qui est faux). Il prend la défense de son « ami » et pourrit les forums liés aux papiers écrits par ce vilain journaliste qui ose ce crime de lèse-majesté.

Voilà donc qu'il découvre, mi février, que le journaliste de Transfert et le webmaster de Kitetoa.com ne font qu'un. A un détail près, le webmaster de Kitetoa.com a démissionné en décembre 2001 de Transfert, estimant impossible de travailler pour le nouveau repreneur (Transfert, en faillite, a été « racheté » Par Renaud Renom de la Baume, patron de la Web agency l'Ile des Medias). C'est ce que l'on appelle dans la presse, la clause de conscience. Le 18 février, Jean-Paul Ney commence son auto-excitation et envoie des mails un peu partout pour dire que le webmaster de Kitetoa.com a été condamné et que c'est un pirate informatique.

Il publie ensuite (les 18 et 19 février) deux articles sur son site Intelink.org. Dans l'un il affiche le contenu d'une requête sur la base Whois: le nom, l'adresse personnelle et le numéro de téléphone personnel du webmaster de Kitetoa.com y figurent. Ce n'est pas nouveau puisque cela date de 1998, date du lancement de Kitetoa.com en tant que nom de domaine (avant, on était hébergés sur Mygale). Pourquoi ces données personnelles sont-elles publiques? Parce que le webmaster a toujours estimé normal d'assumer une prise de parole qu'il veut responsable. Dans l'un des articles de Jean-Paul Ney, on peut lire que le forum de Kitetoa.com a été piraté et qu'il a été fermé. Prémonition? Dans les jours qui suivent, Jean-Paul Ney se met à poster sur le forum de Kitetoa.com des dizaines et des dizaines de messages au contenu souvent ordurier (comme lorsqu'il évoque ici ou la vie sexuelle du webmaster de Kitetoa.com et de sa femme), parfois menaçants. Certains incitent à la haine raciale, d'autres sont dénués de sens. Le but est d'énerver les habitués du forum. C'est une technique éprouvée sur le Net que l'on appelle le « troll ». En clair, cela consiste à créer l'exaspération (voir le texte « Comment réussir à ne pas faire taire Casse-Bonbons ») pour que les gens qui hantent un forum commencent à vous envoyer balader. Ensuite, il s'agit de se faire passer pour la victime d'une agression et crier au loup en disant que la « liberté d'expression » est menacée. Recommencer l'opération le plus souvent possible pour une réussite totale...

Jean-Paul Ney est un habitué des trolls. Il en déclenche un peu partout. Dès que quelqu'un met en doute le sérieux de ses affirmations, et cela vient très vite (ce n'est pas un particularisme lié au forum de Kitetoa.com) il perd son sang-froid (en a-t-il? Probablement pas...) et insulte les gens. Toujours avec les mêmes tics typographiques, ce qui permet de le repérer à 500 kilomètres, y compris lorsqu'il utilise un pseudo. Ou qu'il poste des commentaires élogieux sur son livre sur les sites qui le commercialisent (voir sur amazon.fr). Il intègre des majuscules dans ses posts pour souligner son énervement. Ceci dit, pseudo ou pas, la plupart des posts sur le forum de Kitetoa.com ont été fait depuis son ordinateur, son adresse IP étant là pour en témoigner. Comment savoir que c'est la sienne? Simple: Jean-Paul Ney envoie des mails à « plein de monde ». Et même, parfois, à Kitetoa. En attendant, « plein de monde » nous envoie ces mails. On trouve dans le code source de ces mails l'adresse IP de Jean-Paul Ney, qui, correspond, jour par jour, à celle du pollueur de notre forum.

Nous pouvons ainsi lier tous les messages à caractère injurieux, menaçant ou incitant à la haine raciale postés dans notre forums à l'adresse IP du même jour de Jean-Paul Ney lorsqu'il envoie des emails.

Jean-Paul Ney se rend parfois compte (on dirait, tout au moins), dans un accès de lucidité qu'il s'est mis tout le monde à dos et que tout le monde le prend pour ce qu'il est, un trolleur fou. Il envoie alors un message à tout le monde avec la même théorie farfelue: « ce n'est pas moi, on m'a volé mon identité sur le Net, quelqu'un a piraté mon modem, je réfute le fait que ces posts soient de moi ». D'ailleurs, il précise qu'au moment des faits, il était ailleurs. Souvent au Moyen-Orient. Et pour préparer l'avenir, il précise lorsqu'il fait l'imbécile dans une mailing-list ou sur Usenet: « je change d'email, à l'avenir tous les messages émanant de cet email ne sont pas de moi ». Lorsqu'il s'agit d'un forum, il explique: « je me retire du Net. Tout nouveau message ne peut être que l'oeuvre d'un usurpateur ». Jean-Paul Ney est un vrai fan de ce terme. On usurpe. Tout le monde usurpe. On usurpe son email, son nom, tout le monde est méchant... Sauf que tout cela est faux. Il poste un message dans Usenet pour dire que jpney@wanadoo.fr a été « usurpé » mais continue de l'utiliser bien plus tard pour poster des messages liés à son activité sur Internet. Plus rien à voir avec les trolls. Mais c'est toujours son email. Pour Kitetoa.com, il annonce qu'il quitte Internet. Mais revient deux jours plus tard troller un petit coup sur le forum.... Il dit qu'il part à l'étranger, mais continue ses posts dans notre forum. Jean-Paul Ney est le seul à avoir un accès au Net dans l'avion ou dans les territoires occupés...

Outre les forums (aujourd'hui rendus inaccessibles par le Webmaster de Kitetoa.com après les trolls de Jean-Paul Ney) de Kitetoa.com, l'un des exemples frappants de la maladie de Jean-Paul Ney, celle du trolleur fou et agressif, se trouve résumé sur une page hébergée par Indymedia.

Il se trouve qu'un utilisateur d'une liste de diffusion, dans laquelle Jean-Paul Ney avait sévi, a trouvé utile de publier sur Indymedia le mail de l'administrateur de cette liste. L'administrateur en question, Mario Profaca, un journaliste Croate met clairement en cause Jean-Paul Ney dans le piratage de sa mailing-list. La publication de ce mail sur Indymedia déclenche une crise chez notre trolleur fou. Il poste alors des mails injurieux et menaçants sur le forum lié à cette information. Variante: il poste des images pornographiques. Jean-Paul Ney s'est également illustré dans Usenet, les forums de discussion. On trouve la trace de ses oeuvres avec l'inénarrable aller-retour: je suis le meilleur, j'ai fait ci, ça et plein d'autres trucs. Puis: vous êtes tous des cons (souvent des « pédés ») et enfin: je n'ai jamais dit tout ça, on m'a « usurpé ». Salauds d'usurpateurs...

Souvent, ce que dit Jean-Paul Ney est faux ou déformé. L'un des bons exemples est l'équipe de son site Intelink.org On y trouve tout plein d' « experts ». Et il y a même de belles photos pour illustrer les noms affichés. Sauf que manque de chance, ces photos ne sont pas du tout celles des gens qui sont sensés composer l'équipe de Intelink. Mais bien celles de parfaits inconnus présents ailleurs sur le web. Ils n'ont qu'un point en commun... Si vous faites une recherche sur Google (dans la rubrique images) sur le mot « Ney », vous trouverez une bonne partie de ces gens là (dans le cas précis du lien ci-dessus, cherchez en bas à gauche) , qui ne savent même pas qu'ils sont affichés sur le site de notre trolleur fou. Voici donc comment Jean-Paul Ney a constitué son équipe pour Intelink: en faisant une recherche sur le mon « Ney » dans Google. Dans la série « je m'aime... »...

L'autre aspect délirant de Jean-Paul Ney est sa fascination pour tout ce qui est lié aux armes, à la police, aux services secrets, aux corps d'élite des armées du monde entier, et plus particulièrement pour le Mossad, le service secret israélien. Il existe des messages de Jean-Paul-Ney, revendiquant le « droit de porter l'uniforme » sous prétexte qu'il est « correspondant de guerre » et ce genre de débilités. Ne parlons pas des fois où il se fait passer pour un policier. Visiblement, M. Profaca en a fait l'expérience. Cette monomanie va un peu plus loin. Lors de ses appels au domicile du Webmaster de Kitetoa.com, Jean-Paul Ney a affirmé à plusieurs reprises qu'il s'était réuni avec Daniel Martin, responsable de la sécurité à l'OCDE et ancien membre de la DST, Mme, Catherine, Chambon, responsable de l'OCLCTIC et Pascal Courtin, responsable de la BEFTI (le service de police qui nous avait entendu dans l'affaire Tati contre Kitetoa) afin de régler le compte de Kitetoa. Car Jean-Paul Ney se dit l'ami de tous les commissaires de police possibles et imaginables. Toutefois, quand bien même il serait l'ami de ces trois personnes qu'il met en cause, on voit mal au nom de quoi et sur quelles bases juridiques les responsables (ou ancien responsable) des services en charge des délits liés aux nouvelles technologies monteraient une réunion secrète pour préparer une liste d'ennuis pour le webmaster de Kitetoa.com. Interrogé par nos soins, Daniel Martin dément catégoriquement et dit tomber des nues. A l'heure ou nous publions ce texte, Mme Chambon était absente de son bureau et donc, injoignable. Mais son entourage dément. M. Courtin, selon nos informations, réfute totalement cette version des faits.

Jean-Paul Ney a des "amis" partout. Pas seulement des amitiés supposées dans la police. Mais aussi à l'extrême-droite. Une visite dans la rubrique « les partenaires » de son site Intelink.org le démontre clairement. Pour ceux, bien entendu, qui ne l'auraient pas compris en lisant les messages qu'il poste dans le forum de Kitetoa.com.

Enfin, Jean-Paul Ney se veut le plus grand et le meilleur journaliste que la terre ait portée. Les autres ne sont que des mauvais qui « usurpent » (bien entendu) leur titre de journaliste. Lui seul a de vraies informations. Lui seul est digne d'informer le public. Pourquoi pas. D'ailleurs, alors qu'il déclenchait sa petite folie sur le forum de Kitetoa.com, il signait ses mails:

Jean-Paul Ney
Journaliste Canal Plus / I-télévision
Reporter Sipa Presse / Securimag
Membre de l'Institut International des Hautes Etudes de la Cybercriminalité
Webmaster de www.intelink.org

Jean-Paul Ney est pigiste à Canal Plus. Pas journaliste. C'est un détail. Mais qui a son importance. Si vous rencontrez un policier dans une conférence et que vous lui dites « je suis journaliste à Canal Plus », il ne réagit pas de la même façon que si vous lui dites « je suis pigiste à Canal Plus ». Canal Plus justement... Jean-Paul Ney s'est rendu à Canal Plus le 23 mars dernier. Or, le 23 mars dernier, notre trolleur (floodeur aussi. C'est à dire qu'il inonde le forum de messages inintéressants) a sévi depuis une machine appartenant de la rédaction de Canal Plus. Etonnant non cette coïncidence? Ce garçon est pathétique tout de même... Pour ce qui est de Sipa, Jean-Paul Ney a déposé deux sujets il y a près de deux ans. Ca n'en fait pas un reporter de Sipa. Loin de là. Il lui reste Securimag. Vu les thèmes abordés par ce magazine, il est plus que probable qu'il y collabore...

Depuis quelques temps, Jean-Paul Ney signe ses mails:

Jean-Paul Ney
Journaliste / Réalisateur
Canal Plus / France Soir
Red'chef www.intelink.org

Vous l'aurez compris, Jean-Paul Ney est un vrai casse-bonbons, tel que décrit dans le texte de Jacques Rouillard. Sauf qu'en plus de casser les bonbons des lecteurs de Kitetoa.com, il implique dans sa folie pas mal de monde. Or ces gens là ne demandent rien à personne. Ses manies se traduisent par des actes qui sont juridiquement répréhensibles. Ceci dit, vu le niveau de la confusion qui règne sous son scalp (comme diraient les indiens de Lucky Luke), il est peu probable que les suites judiciares de ses actes (et leur résultat) parviennent à le calmer. Un casse bonbons peut-il être calmé? Jacques Rouillard semble en douter. Nous verrons bien.


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